Méthode de choix de la BONNE TAILLE
Ivanne S, article choix de la bonne taille en couture, méthode, patrons de couture
Ivanne S, article choix de la bonne taille en couture, méthode, patrons de couture
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Une histoire de taille et de bien-aller

How to ?  Méthode pour choisir la bonne taille

Nous y voilà ! Confrontée à un nouveau modèle, à un nouveau patron et à une nouvelle marque (ou livre de couture), comment faire pour déterminer le BON choix de taille à reproduire ?

Tout d’abord, il faut repérer les modèles “à RISQUE”

Le cas des modèles amples

Lorsque l’on se coud des modèles amples ou de coupe “floue” (exemptes de pinces – type tuniques, formes kimono, patrons japonais, et bon nombre de patrons pour enfants…), le corps est donc habillé d’un volume légèrement sur-estimé comparé aux vraies lignes et courbes morphologiques. Le bon choix de taille reste bien entendu à privilégier précisément pour que confort et tombé soient optimaux. Mais dans ce cas,  un choix approximatif de taille n’entraîne souvent que des conséquences mineures sur le bien-aller ou sur le rendu visuel : dans la plupart des cas (hormis une taille vraiment trop petite où le corps ne rentre pas dans le vêtement, ou vraiment trop grande où ça flotte et bâille de partout), l’écart esthétique perçu peut rester faible et noyé dans le visuel global. Et l’inconfort peut rester, disons, tolérable.
En sommes, la plupart du temps, pour ce type de vêtement, un choix approximatif de taille n’est pas rédhibitoire.

tunique japonaise

cape

Exemple 1 : tunique japonaise trop grande (encolure instable et trop large sur mes épaules, aisance trop importante sous les bras, mais je m’en contente au quotidien grâce à sa forme globalement très ample  // Exemple 2 : cape –> ce serait une taille unique, trop grande ou trop petite, le rendu serait très similaire.

Le cas des vêtements hyper ajustés

Toutefois, lorsque l’on se coud des modèles ajustés aux coupes seyantes, qui suivent exactement les courbes du corps (aux lignes très féminines, souvent pourvues de pinces), un mauvais choix de taille peut vite s’avérer REDHIBITOIRE. Trop grand, des surplus de matières apparaissent là où il n’en faudrait pas et c’est vite très inesthétique. Trop petit –>  2 options : soit on ne rentre carrément pas dans le vêtements, soit on est engoncé(e) et la situation d’inconfort est vite insupportable. On peut donc considérer ces modèles “à risque”, ils sont très size-sensible.

Là non plus je ne vous apprends rien, je suis certaine que vous comprenez. Vous vous demandez très certainement pourquoi j’en viens à dire des banalités pareilles …

Et bien tout simplement parce que lorsque l’on a l’habitude de coudre certains modèles de vêtements pour enfants, ou certains modèles “adultes” aux coupes simples ou floues (le cas classique des patrons “japonais”) , on prend vite le mauvais réflexe d’un choix de taille finalement assez approximatif (issu de notre expérience du prêt-à-porter par exemple), que ne tolèrera plus du tout la couture de modèles seyants et ajustés. Celle-ci demandera plus de précautions, c’est indéniable. Et puis c’est tellement valorisant de porter une tenue joliment ajustée, “juste taillée pour soi” que cela mérite bien un tout petit peu d’attention et d’anticipation (ce qui ne veut pas forcément dire “plus de temps” ou “plus de technique”, ne pas confondre…)

jupe tulipe

Exemple de modèle “size-sensible” (Perle de Nacre, Grains de Couture) qui doit impérativement avoir la bonne taille (une jupe trop grande –> la ceinture est “lâche” et peut bâiller. Si elle est trop petite, les hanches ne passent pas, ou, le zip ne ferme pas)

Donc que faut-il faire ?

1/ … 1er réflexe :  MENSURATIONS !

C’est la BASE de la BASE. Le SOCLE !!! Et je n’insisterai jamais assez je pense. Et ça nous prend… aller…  3min maxi….
Et surtout, c’est une opération à faire UNE SEULE et bonne FOIS pour toutes sur une même personne (sauf pour des contrôles occasionnels en cas de variations possibles ;-)

mensurations tour de tailleCeci n'est pas une pub pour un régime amincissant

Nous avons surtout besoin de :

  • notre tour de Poitrine (P)
  • notre tour de Taille (T) 
  • notre tour de Bassin (B)

En complément, considérons également notre stature, notre longueur de bras, la hauteur sol-taille
Notons également notre bonnet habituel de soutien-gorge.
Pour en savoir plus  –>  [Grains de Couture – Hommes et Femmes Chapitre Technique – Choisir la bonne taille à l’aide des mensurations – p105-107 – l’équivalent existe dans le livre Grains de Couture Enfants]. Les livres généraux en couture l’expliquent aussi très bien, il n’y a pas que mon bouquin. Je répète que je n’invente rien.

Par contre, c’est hyper important de prendre nos mesures aux BONS ENDROITS, de la bonne façon (voir explis et repères dans le livre, p105). Sinon, le “socle” ne tient plus.

Par exemple, une erreur fréquente sur la mesure du “tour de Taille” est de la prendre à la ceinture ou en taille basse (alors qu’elle doit être prise légèrement au dessus du nombril sur la partie la plus fine de l’abdomen). Une mauvaise mesure à ce niveau a pour effet de sur-évaluer votre vrai tour de taille de plusieurs centimètres (et donc, parfois, de 1 ou 2 tailles en trop par rapport à ce que vous devriez trouver !). Je vous conseille alors de faire plusieurs séries de relevés, pour vérifier que vous trouvez bien des mesures stables.

Une fois nos mensurations répertoriées, conservons-les précieusement. Pour cela, c’est pas mal de les noter sur un post-it rangé dans notre coin-atelier, ou dans notre petit carnet à idées. On doit pouvoir les retrouver facilement.

Exemple : mes mensurations

Poitrine P : 80cm // Taille T : 65cm // Bassin B : 90cm.

Stature : 1.55m  // Longueur des bras : 54cm

Post it taille

 

2/  ÉTALONNAGE

A quel COMPROMIS de tailles ces mensurations correspondent-elles dans le référentiel de la marque (ou livre) de patrons que j’utilise ?

C’est LA question à se poser à CHAQUE nouvelle entrée dans l’univers d’une marque ou d’un livre de couture. Ré-utilisons-nos mensurations afin de les comparer au tableau/barème de taille indiqué sur le patron-pochette, le tuto PDF, ou dans le livre de couture. Là encore, la réponse à cette question est très rapide, et à ne faire normalement qu’une seule fois par marque de patron : en 2min maxi, c’est fait.

L’astuce : la combinaison de plusieurs tailles différentes et le trio P/T/B

ICI, il est important, non plus de raisonner forcément que sur une seule “colonne de taille” (par exemple : le 36 uniquement = “36-bloc”), mais de raisonner selon une COMBINAISON de plusieurs tailles différentes si besoin. D’où cette notion de “COMPROMIS“. C’est la clé de la réussite du choix de la taille, qui vous permettra de “sortir du “sablier” retenu par la silhouette-type.

Alors que le barème associe un trio de mesures Poitrine/Taille/Bassin (P/T/B) théorique pour une même taille, vous constaterez peut-être (très certainement d’ailleurs) que “votre trio P/T/B à vous” ne correspond pas au trio donné par le tableau, mais s’étale au contraire sur plusieurs tailles, voire entre 2 tailles (un 40 en tour de poitrine, un 40-42 en tour de taille, un 44+ en tour de bassin). Pas de panique, c’est tout à fait NORMAL (c’est mon cas d’ailleurs !). Pensons surtout que la normalité, ce n’est pas nécessairement le tableau du barème. Repositionnons-nous dans NOTRE normalité, parce que nous sommes UNIQUES. Si en revanche vous avez un trio P/T/B “bloc” (par exemple un 40 “de partout” – P/T/B 40/40/40), vous êtes bien chanceuse ! Je vous envie, ça doit être facile de vous coudre des trucs !

Au delà du combo P/T/B, pensons également à nous positionner en terme de stature, de longueur de bras… afin de savoir si nous devons effectuer un rallongement ou un raccourcissement du patron (moi, je dois systématiquement raccourcir en longueur de jambe, de buste, de bras, TOUT).

Si vos mensurations “sortent” du tableau, rappelez-vous également que les livres Grains de Couture vous expliquent comment extrapoler les patrons à 1 ou 2 (ou 3 …) tailles en plus ou en moins (p107). Tailles 48, 50, … c’est accessible.

 

Grains de Couture

Exemple : Reprenons mes mensurations et l’exemple Grains de Couture (méthode valable pour d’autres marques).

Je me mets à votre place. Admettons donc quelques minutes que ce soit la première fois que je me couse un modèle du livre “Grains de Couture – Femmes. La question est donc de savoir comment je me situe, moi, ma taille et mes formes, dans ce nouveau référentiel de tailles que je ne connais pas encore très bien.  

Selon le barème de la p105, je corresponds à un T34 au niveau de la poitrine, un petit T38 à la taille et un T36-38 au bassin. Comme vous le voyez, je suis moi-même sur 3 tailles différentes. On dirait pas ? Et ben si… et à vrai dire, ça ne me fait ni chaud ni froid. Pour autant, même si je ne rentre pas réellement dans une case “type” de la nomenclature du bouquin, je me considère plutôt normale dans la vraie vie, si si c’est vrai (bien que petite et menue). Ainsi sont mes formes (ou mes non-formes). C’est juste “moi”.  Du moins, la combinaison PTB 34/38/38 … c’est l’image du “moi” dans le standard qui a servi à construire les patrons du livre. Par contre, attention : ce n’est pas “moi” dans le miroir, ce n’est pas forcément “moi” dans ma tête, ni même le “moi” dans les vêtements du commerce (où je suis réduite à choisir la plupart du temps du S ou du 36 parce que je n’ai pas trop le choix, même si ça ne me va jamais réellement bien).
Le combo PTB 34/38/38 (ou 34/38/36 et demi si je veux être au plus fit) est donc MON trio gagnant pour le livre Grains de Couture.

 

3/ TRACE du COMPROMIS

Question préliminaire 

Avant d’effectuer le tracé, il est bon de se demander ce que l’on souhaite faire avec le vêtement que l’on veut coudre, et où est-ce que l’on place nos priorités entre ESTHETIQUE, CONFORT et USAGE.

Par exemple, dans le cas de mon trio P/T/B, je suis pile entre 2 tailles au  bassin (36-38) : je choisirai donc plutot un 38 à ce niveau pour un meilleur confort, mais plutôt un 361/2 pour un plus soli seyant (quitte à être peut-être ric-rac en confort).

Une question récurrente concerne par exemple l’usage réel que nous faisons des patrons de manteau ou veste : ai-je envie de le porter en mi-saison sur un tee-shirt ? Pourrais-je au contraire en faire un manteau et le porter sur une gros pull épais et bien chaud ? Si je veux le tripler de ouatine ou utiliser une gros lainage, devrais-je le coudre dans une taille de plus ? Devrais-je rajouter de l’aisance pour gagner en confort ? Autant de points à anticiper avant de se lancer dans le choix des tailles et du tracé du patron. Ce choix nous revient, mais retenons qu’en cas de doute, il est toujours mieux de se prévoir une marge “de trop” (plutôt qu’une marge “de moins”) pour des raisons évidentes de retouches a posteriori.

Tracé du compromis :

Une fois cette réflexion menée, il suffit tout simplement de décalquer notre patron selon NOTRE trio de tailles P/T/B, en suivant les tracés correspondants (et en assurant une continuité de tracé si l’on doit “sauter” d’une ou deux tailles). Ceci se fait à main levée au crayon de papier, c’est easy, vraiment, c’est peu de le dire.
Mais surtout, déculpabilisons : ça ne s’appelle pas du “bidouillage”, ça ne s’appelle pas “être mal foutue”,  mais c’est juste… “se coudre des vêtements avec une approche “sur mesure” d’après un patron déjà établi.  Et il n’y a rien de technique là-dedans, il faut juste savoir tenir un crayon et lire des chiffres, et ça prend… aller… 1 min… !

[schéma explicite —> Grains de couture – Hommes et Femmes, Chapitre Technique – § 2.2.3 – Savoir faire un tracé compromis – p106].

Exemple : Reprenons mes mensurations.

Je me redessine donc un patron compromis, directement sur la planche (au crayon de papier), ou simultanément en décalquant mon patron, en rejoignant les tracés correspondants au 34 poitrine, puis, dans la continuité, 38 taille…  puis 38 bassin (ou 36 1/2 bassin).

Les risques si je ne fais pas ça : dans mon cas, sur l’hypothèse de couture d’un modèle ajusté (par exemple, mon AMETHYSTE en lainage) le risque en ne décalquant qu’un 34 “bloc” (34 de partout) aurait été de ne pas pouvoir boutonner le bas de mon manteau à cause de mon bassin large. AMETHYSTE étant ajusté (j’ai prévu assez peu d’aisance), il ne tolère donc aucune négligence à ce niveau, sinon, “ça ne rentre pas”. Ce sera aussi et surtout le cas pour la robe/jupe OPALE, la jupe/robe PERLE de NACRE…).
A l’inverse, on comprendra que si je veux me coudre un haut,
choisir la taille maxi de mon combo (le 38) serait complètement inapproprié, je flotterais dedans au niveau de la poitrine, et le modèle aurait un très vilain “tombé”. 

 

4/ Attention aux MARGES de COUTURE !

marge de couture

Là je vais direct à l’exemple :

Exemple : il s’agit d’une anecdote au sujet de mes propres erreurs (ça, je maîtrise). En voulant me coudre la belle robe Belladone de Deer & Doe, et après un choix de taille scrupuleux… (je promets), j’ai eu la surprise de découvrir une robe trop grande en largeur, notamment au niveau du buste et du tour de taille.  Pas de beaucoup, n’exagérons rien, mais Belladone méritant un ajustement “au poil” pour être vraiment sympa,  je me suis étonnée de ces surplus ça et là qui ne me mettaient pas du tout en valeur. Je sais que j’ai souvent des retouches à faire quand je couds pour moi à cause de ma morphologie, mais là, bizarre. Sur le coup, je me suis dit que ça devait être du au fait qu’Eléonore construisait des patrons pour “des femmes qui ont de vraies formes” (hypothèse possible : ne pas me remettre en question mais penser que ça devait tailler “grand” comparé à ma petite nature). Mais après une petite réflexion, je me suis rendue compte d’un truc : un moment de déconcentration m’a naturellement menée  à coudre à  environ 0.7-0.8cm de marge (au lieu de 1.5cm imposés par la marque). En effet, cette distance de 0.7-0.8cm est un usage que j’ai adopté à la longue (initié je pense par l’utilisation intensive des patrons “C’est Dimanche” à mes débuts). Les marges à 0.7-0.8cm sont donc devenues une constante dans mes projets-couture, limite… je n’y fais même plus attention. Le problème, c’est que c’est tellement un réflexe que c’est capable d’être “plus fort” que la règle de marge imposée, pourtant lue (et intégrée, me semblait-il) . Rapide calcul : 1.5cm de marge théorique contre 0.75cm de marge effective, cela fait un différentiel d’erreur de 0.75cm en trop par empiècement, soit 1.5cm en trop par couture d’assemblage (un côté par exemple), et donc 3cm en trop au total pour les 2 coutures de côté (au tour de taille par exemple). Et 3cm en trop sur un tour de taille, c’est quasiment 1 taille de plus !!! Vous voyez ? Alors quand c’est “en plus” comme dans mon cas : rien de grave, on fait une petite retouche, et on ré-ajuste le patron comme il faut. Mais imaginez l’erreur inverse (une personne appliquant une marge de 1.5cm alors qu’on lui impose une marge à 0.75cm –>  cela donnerait 3 cm en moins et donc, quasiment une taille en moins en largeur … on risque à ce titre de ne plus pouvoir rentrer dans son vêtement. A cause des marges de couture, juste ça ! (et pas à cause du patron)

Donc une fois le bon choix de taille effectué, et le bon “tracé compromis” réalisé, ne baissons surtout pas notre garde. Lors de la coupe des tissus ET lors de la couture, il faut ensuite gérer cette histoire marges de couture. Qu’elles soient libres et à ajouter nous-même (comme dans mon livre), ou imposées et incluses dans les tracés (Deer and Doe par exemple), la contrainte reste strictement la même : il est impératif de respecter la règle fixée (ou que NOUS nous sommes fixée). Sinon, nous risquerions de nous retrouver, encore une fois, avec des cm en trop ou en moins là où il ne faudrait pas. Si on est méticuleuse au niveau du choix de la taille ou du compromis de taille, ce serait quand même dommage de tout “mettre par terre” à cause de marges hasardeuses sous le pied de biche.

marge de couture 2

 

 CONCLUSION GÉNÉRALE

Pour nous coudre un vêtement à la bonne taille, sans y apporter trop de retouches… –> 5 min pas plus à ajouter à notre projet, vraiment, ce serait dommage de s’en priver. Il nous faut pour cela :

  • oublier nos références de tailles issues du prêt-à-porter (0 min)
  • prendre nos mensurations une bonne fois pour toute, en suivant les bons repères du corps – very important (à noter et à conserver précieusement sur un post-it) (3 min, 1 seule fois)
  • repositionner nos mesures dans le barème de tailles proposé par la marque ou le livre de patrons de couture, et noter notre “trio P/T/B” . Cette opération est à réaliser à chaque découverte d’une marque/livre, pour nous étalonner (donc pas forcément à chaque projet-couture) (2 min)
  • rester ZEN et CONFIANTE même si notre “trio P/T/B” s’étale sur plusieurs tailles (et même si l’une des tailles dépasse fortement celle que l’on pense faire) ! Personne n’est là pour nous juger, il n’y a que nous qui connaissons ses codes de tailles qui nous permettront de mieux coudre (on a même le droit de planquer le post-it). Et après-tout, ces chiffres ne sont que des guides/repères pour nous rapprocher du “sur-mesure” (0 min)
  • avoir le réflexe de ne plus systématiquement reproduire notre patron en “mono-taille”, mais de retracer les contours de NOTRE patron selon LE COMPROMIS de tailles correspondant à NOTRE “trio P/T/B”, le nerf de la guerre ! (2 min)
  • veiller à respecter scrupuleusement les marges de couture, c’est tout aussi important que le reste (0 min)

Soit au final, 7 min grand maximum pour une couture à la bonne taille… (et combien de temps GAGNE à ne pas trop retoucher, à ne pas être déçue, à ne pas coudre un ouvrage pour rien…)

Cela-dit, il faut admettre que si l’on souhaite pousser le raisonnement “au bout du bout” en matière de bien-aller, il convient d’avancer encore au delà du choix de la bonne taille.
Pour obtenir une vêtement hyper SEYANT, le genre de seconde peau juste “faite pour nous” (et par nous”)… un dernier petit effort de lecture… et vous y serez…

Navigation dans l’article

Introduction : LIRE
Taille – Définition : LIRE
Comparatif des barèmes : LIRE
Tailles “Grains de Couture” : LIRE
Silhouette-type : LIRE
Méthode de choix de la bonne taille : LIRE
Seyant parfait : LIRE

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