En dessous de tout, OUI, EN DESSOUS DE TOUT pour répondre à vos nombreux (le mot est faible !) commentaires suite à mon dernier post. Moi qui étais jusque là très à cheval sur la réponse systématique et personnalisée à chacun d’entre eux, là, je me suis laissée dépasser par la vague.

Alors voilà, pour m’excuser et vous remercier, et si celui-ci vous plait, j’ai gribouillé un simili-tuto du SAROUEL posté ici.

Ce n’est pas l’un de ces tutoriels de pro- comme on peut en admirer sur la blogosphère, avec photos, détails sous tous les angles, etc… certaines bloggueuses le feraient bien mieux que moi. Non, désolée. Il s’agit là d’un simple schéma qui, je l’espère, vous aidera à mieux comprendre et vous guider, si vous souhaitez le tenter.

Clic-clic sur l’image pour visualiser celle-ci en taille réelle.

Vous constaterez que je n’ai pas eu besoin d’aller beaucoup plus loin que ce qui est proposé dans les livres des Intemporels pour Bébés (IPBB) et Intemporels pour Enfants (IPE). Comme je m’en suis largement inspirée pour les dimensions, je ne vous donne “que” les mesures que j’ai extrapolées pour la taille 2 ans, et ce de façon à respecter les droits de Mme Citronille (même si le sarouel ne ressemble plus à celui des IPBB ou IPE, restons prudents, c’est mieux).

Le principe est donc le même : deux pièces rectangles pour les jambes + un empiècement d’entrejambe qui, au lieu d’être rectangulaire lui aussi, est ici en forme de “losange”. Replié en deux, cette sorte de losange descend bien plus bas (soit près des chevilles) que ce qui est préconisé dans le livre, donnant au sarouel cet effet de “jupe-à-pattes”. Si vous souhaitez extrapoler la dimension du losange pour d’autres tailles que le “2 ans”, pensez à lui donner une largeur centrale (au niveau du pli) qui permette à l’enfant de pouvoir écarter les jambes et se mouvoir sans problème.

Ensuite, au niveau de la taille : dans un premier temps, deux petits plis creux de 3-4cm sont ajoutés au devant et au dos. Je trouve qu’ils améliorent le “tombé” du sarouel. L’ourlet-rentré et l’enfilage de l’élastique se font dans un second temps.

Enfin, le bas des jambes est “élastiqué”, pour l’effet “bouffant”.

Si vous vous lancez dans la réalisation de ce sarouel, je serais ravie de recevoir une photo de votre réalisation : j’essaierai de faire une compil’ dans un album. Prévenez-moi en cliquant sur “Contacter l’auteur” (en haut à gauche du blog, sous la bannière)

Bonne couture !